Le Karakou se décline en plusieurs modèles, couleurs et matières, offrant ainsi un choix varié pour toutes les femmes.

Ce vêtement, connu pour son élégance, est fabriqué à partir de tissus nobles et souvent agrémenté de broderies fines.

Faites l’expérience de la splendeur de la robe kabyle et enrichissez votre garde-robe d’une pièce chargée d’histoire et de significations.

Élaboré avec des tissus de qualité comme le velours ou la soie, et souvent orné de broderies et de perles, le karakou se distingue par son design élégant et son artisanat détaillé. Véritable œuvre d’art, chaque pièce reflète un savoir-faire special et une focus méticuleuse au détail.

Issu de multiples brassages historiques, ce patrimoine séculaire est le reflet de l’identité et d’un savoir-faire algériens ayant résisté, pour la plupart, au temps et aux diverses menaces d’effacement.

Les créateurs de « Atelier les 3 fleurs » sont ravis de partager leurs coutumes avec tous ceux qui sont curieux de découvrir des vêtements de qualité, à la fois authentiques et modernes.

Il est appelé Elfouta qui couvre le corps de la taille jusqu’aux jambes. Les femmes kabyle adorent l'argent et aiment même le mettre au quotidien. Chacune possède un bracelet, un  collier, des boucles d'oreilles et une bague en argent qui sont associés à cette modeste robe kabyle. La robe kabyle (Thakandourth- nl -Kvayel ) porte beaucoup de noms selon la région dont elle fait partie, tel que Thakandourth Iwadayen qui se réfère à la région Wadiya à Tizi Ouzou. Pendant chaque mariage (cérémonie de henné), les femmes portent la robe kabyle et les hommes mettent le Barnous qui est fait à la major avec la laine des moutons. Dans certaines régions, les personnes âgées le portent encore tous les jours, surtout en hiver pour here se réchauffer. 

Femme en djebba dans les années 1930. Au XXe siècle, l'allégement de la parure touche toutes les get-togethers du costume. La extendedévité de l'elhaf dépasse celle de l'akhellal de Kabylie, vehicle le drapé aurésien s'adapte aux cotonnades manufacturées[88].

De manière additionally générale, Amira Tefridj souhaite valoriser l’allure de la femme algérienne : « Je puise mon inspiration des tenues traditionnelles de tout le pays et je les intègre dans mes modèles.

Il y a deux sortes de khemri : l'un mkhabbel (embrouillé), et l'autre en-naçriya qui possède une bande de décoration supplémentaire[113].

Les karakous arborent une palette de couleurs riche et variée, chaque couleur offrant une symbolique propre. Les additionally fréquemment utilisées sont:

Si les écrits relatifs à ce pan du patrimoine matériel national sont essentiellement ceux de Français réalisés durant leur présence en Algérie, nombre de travaux de recherche ont été Malesés après l’indépendance par des chercheurs et spécialistes algériens, dont ceux de Leila Belkaïd qui compte parmi les réfileérences les additionally fouillées et crédibles en la matière.

Au XIXe siècle, le karakou a émergé comme une pièce maîtresse de la garde-robe féminine à Alger. Il s’incruste dans le patrimoine vestimentaire, originaire de la noblesse algéroise, où il était arboré lors de grandes cérémonies.

Les fibules, ibzimen, sont toujours en argent massif. De forme triangulaire, elles s'agrémentent de gros cabochons de corail rouge. Ils se couvrent d'émaux cloisonnés bleus, verts et jaunes, cette technique véhiculée par les exilés andalous set upés à Béjaïa, a été transmise aux artisans des montagnes voisines[ninety four].